Les émeutes de 1981 dans le sud londonien

South London riots 1981
South London riots 1981

L’événement « Transpontine » revient sur des documents qui, avant, étaient placés comme étant confidentiels par le gouvernement mais délivrés aux National Archives (les archives nationales britanniques) à la fin de décembre 2011. Cela nous donne de plus amples informations sur les affrontements ayant eu lieu en Grande-Bretagne à la fin de juillet 1981. Dans les documents papiers, nous pouvons trouver quelques informations au sujet des événements ayant eu lieu, qui combinés aux rapports de la presse contemporaine, nous donne une idée de ce qu’il a pu se passer dans la zone à ce moment-là.

Submitted by Rafaelle on July 16, 2017

Woolwich et Lewisham
Dans les documents, nous pouvons retrouver un résumé venant de la division F4 du « Home Office » (responsable des liens existants avec les services de sécurité, la branche spéciale, etc.) et avec des détails provenant de l’organisme « Metropolitan Police » (la police londonienne) au sujet des désordres/émeutes étant survenu-e-s le jeudi 9 juillet. « A 19h24, 100 jeunes personnes noires et 50 jeunes gens blancs ont été vus à Woolwich, mais il n’y a eu aucun problème… À 20h42, des émeutes ont eu lieu dans le quartier de Woolwich, des jeunes jetant des pierres et renversant des voitures. Des troupes avaient précédemment été déployées dans Woolwich, pour répondre à un rassemblement de la ligue anti-nazi, et à cela s’était ajouté les troupes spéciales ainsi que les unités de réponse urgente qui avaient été déployées à partie des Opérations Room, ain de prévenir toute échauffourée… À 22h35, des désordres ont faits jour dans le quartier de Lewisham… Pendant ce temps, les échanges à propos du quartier de Woolwich continuaient. Les statistiques de la police du « Met R District » (Woolwich) ont été que 37 personnes avaient été arrêtées à Woolwich, que quatre blessures superficielles avaient été infligées à des membres de la police, que huit fenêtres avaient été brisées, que deux voitures avaient été renversées. Le district « P » (Lewisham) faisait état de 10 arrestations.
Le jour suivant, le journal « le Time » a fait état de ces événements : « la police londonienne a rapidement dissipé ce qui menaçait de devenir une émeute, hier soir dans le quartier de Woolwich, dans le sud est londonien. Environ 200 jeunes noirs et asiatiques ont parcouru le centre-ville, détruisant 15 vitrines de magasins et retournant deux voitures. Des pillages ont eu lieu. Les jeunes ont été dépassés en nombre par la police, les dispersant rapidement et faisant 27 arrestations… Dans le quartier de Lewisham, huit jeunes ont été arrêtés, après des affrontements au court desquels des biens ont été volés dans le magasin Chiesman’s. Près de 100 jeunes noir-e-s dans le quartier de Deptford, ont jetés des bouteilles sur une voiture de police » (journal « Time » du 10 juillet 1981).

Les événements de Woolwich semblé avoir été provoqués par les rumeurs d’une invasion de boneheads racistes, qui devait avoir lieu lors d’un concert à Tramshed (un événement similaire avait amené à des émeutes dans le quartier de Southall la semaine précédente). D’après Deptford et Peckahm Mercury (le 16 juillet 1981), les gens s’étaient initialement rassemblé-e-s dans les rues afin de défendre le quartier qui, d’après eulles, était vulnérable aux attaques racistes – des groupes avaient été aperçus proches d’un temple Sikh dans les rues de Calderwood et Masons Hill (un rassemblement par la ligue anti-nazie s’y tenait), une mosquée dans Thomas Street, ainsi que le projet Simba (un groupe communautaire Afro-Caraïbéen). Une rumeur (non fondée) comme quoi des boneheads arrivaient par le ferry de Woolwich s’était répandue parmi des centaines de jeunes gens qui avaient dévalé Powis Street, endroit où des vitres d’un commerce avaient été brisées et où des voitures avaient été renversées. Un marchand de tabac avait également été pillé.

Le même journal a également rapporté que, cette nuit également, des bouteilles avaient été jetées à la police par la foule, vers Tanners Hill à Deptford (probablement le même incident dont il était fait référence dans le journal « The Times »). A Baltham High Road, « environ 35 magasins ont été saccagés par la vague de violence qui avait commencée peu de temps après minuit, quand environ 200 jeunes sont descendu-e-s dans les rues. Le pire avait été au magasin Argos Discount Store, où des centaines de pounds (monnaie du Royaume-Uni) de bien avaient été volés » (South London Press du 14 juillet 1981). Le vendredi suivant, à la nuit tombée, deux voitures avaient été renversées sur Daneville Road, à Camberwell (Mercury du 16 juillet 1981) et un jeune de 15 ans avait été arrêté sur Rye Lane, à Peckham, pour avoir été une bombe au pétrole sur la police » (South London Press du 14 juillet 1981).
À Lewisham, les événements semblaient être plutôt sporadiques, faisant cas d’autocongratulation de la part de la police du sud londonien. « Lewisham a survécu presque sans encombre à une semaine d’émeutes dans les villes de l’intérieur du pays grâce à une surveillance pleine de sentiments et a une coopération de la part du public, a déclaré hier un chef de la police. A part une vitre éclatée dans le quartier de Chiesman, à Lewisham High Street, ainsi que quelques lancés de pierre dans le quartier de Sydenham samedi, dans lequel trois personnes ont été arrêtées, il n’y a rien eu, juste des violences aussi grandes que dans d’autres zones. Bien que des tenanci-er-ère-s de magasins avaient pris la précaution d’encadrer leurs magasins, bien qu’il ait été donné à la police des vêtements de protection et des couvre-chefs de protection, le commandant de l’arrondissement P a déclaré qu’il était « très heureux » que le quartier soit resté paisible.
« Bien que de nombreu-ses-x offici-er-ère-s de la police ont été appelé-e-s dans d’autres lieux où des affrontements ont eu lieu, bien que les personnes restées derrières ont eu à travailler pendant de longues heures, iëls se sont tout de même efforcé-e-s à patient-e-s et à policer la zone de manière honnête… Je suis conscient que, alors que nous devons continuer à être fermes et à faire ces arrestations qui sont justes, nous devons garder en ligne la nécessité d’être compris-es. A travers un effort concerté de notre offici-ère-er de liaison et de nos gardiens de la paix bien de chez nous, cela avec un immense esprit de coopération par les groupes communautaires locaux. Auprès des meneu-r-se-s de la jeunesse ainsi que du public en général, nous sommes gagnants … Nous recevons même des retours positifs de la part de jeunes gens noir-e-s comme blanc-he-s qui sont fi-er-ère-s de leur quartier, des gens : « c’est notre ville, nous ne voulons par la détruire. » (SLP du 17 juillet 1981)
Beaucoup de personnes noires des environs n’avaient probablement jamais eu une opinion aussi optimiste des relations pouvant exister avec la police. En particulier après l’événement du New Cross Fire de janvier 1981. En effet, la controverse avait repris du poil de la bête après la controverse de juillet, quand la police avait prévenu qu’une levée de fond pour le « New Cross Massacre Action Commitee » n’était pas envisageable pour des raisons d’autorisation, au Evelyn 190 Center de la Evelyn Street de Deptford (« Clash over fier victims disco », Mercury, 16 juillet 1981).
Le Parc de Battersea
Le Battersea Park a été un autre point important : « une bande de jeunes a attaqué quatre polici-er-ère-s dimanche après-midi [le 12 juillet], les faisant frapper le tarmac du roller park de Battersea Park. Deux officiers de police qui n’étaient plus en service – Robert Smith et Brian Tullock – ont été transportés vers un hôpital rapidement, avec des blessures sévères au crâne. L’officier de police Smith a eu besoin de 13 points de suture. « Tout a commencé quand nous avons répondu à un appel qui disait qu’une voiture avait été retournée dans le parc », a déclaré le colonel détective Larry Lawrence. « Quatre d’entre nous avions nos habits de civils. Aussitôt, nous nous sommes préparés et, lorsque nous sommes arrivés, nous avons été attaqués par une vingtaine de jeunes armés de crosses de hockey et de cannes de bois. Les coups sont tombés sur PC Smith et PC Tullock s’est également sévèrement fait frapper. Monsieur Lawrence a déclaré qu’une foule de 200 personnes regardait. « Le seul détail humain a été une fille qui a enlevé son cardigan et l’a entouré autour de la tête du PC Smith alors qu’il saignait. » Un de jeunes armé-e-s de cross de hockey et de morceaux de bois a couru à travers le parc tôt dans la soirée, abîmant deux voitures et lançant des bombes au pétrole sur la police. »
« Plus tard dans la soirée, trois polici-ères-er-s ont été blessés sur Francis Chichester Way, quand 35 jeunes ont balancé violemment des missiles et des bombes sur les polici-ère-er-s. Le samedi soir, des incidents ont commencé à la suite de débordements violents, quand 17 arrestations ont été faites, sur Queenstown Road et Falcon Road. » (South London Press, le 14 juillet 1981)
Brixton
Les émeutes principales dans Brixton ont eu lieu en avril 1981, et on peut poser la question à savoir si c’est cela qui a amené aux soulèvements de 1981. Cela dit, en juillet, il y a eu deux événements. Le premier le vendredi 10 juillet.
« La violence est revenue dans les rues de Brixton ce week-end, seulement quelques heures après que Lord Scarman ait fini la première partie de son discours au sujet des émeutes d’avril. De grandes foules se sont affrontées à la police, des voitures ont été retournées, des feus allumés, des magasins ont été attaqués et pillés à une petite distance seulement de la mairie de Lambeth, où le leader du GLC (Great London Council), Ken Livingstone, tenait une adresse envers un rassemblement anti-nazi. Les spectateurices bénéficiaient d’une tribune, les offici-ère-er-s combattants toujours les pillages… 31 offici-ère-er-s ont été blessé-e-s et 157 arrestations ont eu lieu (surtout pour des pillages et pour s’en être pris-e-s physiquement à la police)
Les affrontements ont commencé aux alentours de 16 heures, quand la police a arrêté un Rastafari du nom de Malik sur Atlantic Road. Lloyd Coxsone (32) DJ connu dans le quartier, avait essayé d’intervenir mais avait été arrêté pour avoir fait obstruction. En seulement quelques minutes, la jeunesse avait érigé des barricades le long de Atlantic Road… Des renforts policiers sont rapidement arrivés sur les lieux, mais à 16h30, une voiture panda avait été retournée sur Atlantic Road, avant que le feu y soit mis. Une autre voiture avait également été retournée et le feu y avait été mis, mais les officiers de police s’en été échappé-e-s sans que rien ne leur arrive.
En dehors du pub « Atlantic » (renommé « The Dogstar » dans les années 1990) les meneureuses de la cause noire ont utilisé une pluie de grêle afin d’appeler au calme. Monsieur Maliki a annoncé à la foule que Monsieur Coxsone avait été libéré, il leur a demandé de se disperser. Mais certain-e-s jeunes avaient déjà profité de cette confrontation pour commencer à piller les magasins situés sur Atlantic Road Les bijouteries Rattner’s avaient été attaquées à 16h30, et des mafiosos avaient attaqué Electric Lane afin d’enlever l’électricité chez le magasin généraliste Curry’s.
La police s’était organisée en escouades d’environ une douzaine d’hommes, un sergent aux commandes. Iëls se sont aligné-e-s le long de la route principale, marchant couverts par des boucliers anti-émeute vers la foule. Visiblement, leur but était de disperser la foule le long de Effra Road et Brixton Road… À 20h30, la police avait enlevé la foule du centre de Brixton » (South London Press du 14 juillet 1981)
Margaret Thatcher, alors première ministre, avait alors visité le commissariat de Brixton, durant les premières heures du 14 juillet, à la suite d’un meeting à New Scotland Yard où s’était prévisible, les officiers seniors ont appuyé pour que la force policière soit plus importante et pour des équipements en cas d’émeutes (les archives nationales incluent un compte rendu de ce meeting, et font état de casques antiémeutes, ainsi que de balles en plastique mises à la disposition de la police par l’armée)
Le 15 juillet, les conflits à Brixton ont été encore plus forts à la suite de raids controversés, menés par la police à Railton Road. Les documents du gouvernement aux archives nationales incluent un rapport détaillé de ces attaques rapides. Il est également fait mention de bombes au pétrole entreposées à ces endroits.
Onze postulats ont été faits. Les numéros 35,37, 47,52, 54 et 60 de Railton Road, qui étaient sous des mandats établis par la Section 187 de l’acte de licence 1964 ont été suspectés « d’un usage hors la loi de boissons alcoolisées » et les numéros 50, 56, 58,62 et 64 ont été suspectés de tomber sous la section 6 du « Criminal Justice Act ». Plusieurs propriétés étaient à moitié abandonnées et attendaient simplement d’être démolies. 176 offici-ère-er-s en uniforme étaient employé-e-s, « afin d’entrer dans les habitations » et 391 offici-ère-er-s de plus restaient en réserve ou étaient employé-e-s à la coordination de la zone. Le rapport a admis que « aucune preuve n’avait été trouvée concernant la fabrication de bombes au pétrole ou la consommation illégale d’alcool ce soir-là. » Sept personnes ont été arrêtées pour de petits délits.
Dans le rapport rendu par la police, il est donné des indications à propos de la vie sociale sur la « frontline » (ligne de front – nom donné à cette parcelle de Railton Road) en ce temps-là : au numéro 47 « un nouveau radio-cassette ainsi qu’une petite quantité de drogue avait été trouvée » ; au 54 de Railton Road il y avait « 25 à 30 personnes dans le bâtiment » ; au numéro 58, la police a payé une compensation pour les dommages causés à une machine ‘space invaders’ ainsi qu’à une table de billard » ; au numéro 62, la maison était utilisée comme un temple quasi-masonique et, au moment du raid, deux épées de cérémonie avaient été laissées sur le sol, et de objets étaient rangés dans un tiroir » (rapport d’enquête de l’assistant enquêteur Dear sur les opérations de la police à Railton Road, à Brixton, le mercredi 15 juillet 1981).
Ce rapport minimise l’importance des dommages faits aux maisons des personnes, mais localement, la haine envers la manière dont les raids avaient été menés était intense.
'Joseph Francis (17 ans), qui dormait quand le raid a eu lieu, a déclaré que la porte non-fermée de sa chambre avait été détruite à la hache par deux polici-ère-er-s. Il a déclaré qu’une femme et un enfant avaient été jeté-e-s au sol quand le matelas avait été retiré d’en dessous d’eulles.
Monsieur Gladstone McKenzie était arrivé à son magasin, le « Railton Free Off Licence », pour découvrir que la porte et les fenêtres avaient été détruites et que la porte de derrière avait été détruite. Il a déclaré que ses relations avec la police avaient toujours été aimables, l’étendue des dommages le choquait. Certaines fenêtres à l’étage donnaient même l’impression d’avoir été brisées depuis l’intérieur, la majorité des débris de verre se trouvant a l’extérieur.
L’une des maisons ayant subi des dégâts lors de l’attaque du mercredi venait justement de percevoir 4000 livres de la part du City Partnership. Le numéro 50 de Railton Road était d’ailleurs détenu par le Lambeth Council (conseil de quartier) et était louée au Railton Youth Club…
100 jeunes ont été impliqué-e-s dans des combats avec la police sur Railton Road le mercredi durant la nuit. Des bombes de pétrole, des pierres, des bouteilles, ont été lancées et dix offici-er-ère-s ont été bléssé-e-s. Les affrontements avaient commencé juste après 23 heures, quand le feu avait été mis à deux voitures et quand une barricade de tôle ondulée et de bois avait été construite derrière eulles. Ceci dit, la police, arrivant était renforcée à la jonction de Railton Road et de Coldharbour Lane n’a fait aucun mouvement. Des jeunes cagoulé-e-s, l’un-e d’entre eulles portant une grande canne, ont chargé les lignes policières, balançant des projectiles mais étant rapidement repoussé-e-s. Un camion de pompi-ère-er-s, qui essayait de porter secours aux véhicules en feu s’est vu être assailli par des jets de pierres. Il y a eu un autre moment de crainte, quand on convoi de huit motos surpuissantes a été entendu dans la zone, chevauchées par des jeunes blanc-he-s.
À 23h45, la police a commencé à, prudemment, bouger sur Railton Road, derrière un mur de boucliers de protection et avançant sur les bords de la rue. Une autre force de frappe, grande, approchait en même temps le long de Herne Hill. C’est à peu près à ce moment-là que les premières bombes au pétrole ont été lancées. À 0h15, les barricades étaient enlevées, et la police contrôlait la zone. Ceci dit, une garde est restée sur place pendant encore quelques heures. » (South London Press, le 17 juillet 1981).

La gauche à Brixton
Des instructions à l’intention des ministres incluait des archives issues des « National Archives » et soulignant l’implication de groupe d’extrêmes gauches, plus particulièrement dans la zone de Brixton : « il y a de grandes preuves d’une activité par des organisations extrémistes, frappées par certaines des plus graves activités violentes récentes » bien que cela prenait en considération « qu’il paraisse peu probable que dans aucun des cas, des extrémistes ont réellement été à l’origine des violences. » Ce rapport ne dit pas que la gauche radicale semblait avoir été trop fragmentée en groupes rivaux pour coordonner ce qui aurait pu être des grosses actions à grande échelle, mais ça en apporte des preuves.
Ce rapport fait mention du Labour Committee for the Defence of Brixton, fondé à la suite des émeutes de 1981 à l’instigation du groupe « Militant Tendency » et qui opérait « depuis une adresse sur Railton Road » « Le Workers Revolutionary Party avait une librairie sur Atlantic Road et un Youth Training Center à Stockwell. » ; « Le Revolutionnary Group a son quartier général sur Railton Road » ; «le Revolutionnary Communist Party, a été lancé au Lambeth Unemployed Workers Group peu de temps avant les émeutes et a, depuis, formé le groupe du South London Against Racism, semblable au East London Workers Against Racism qui gagnait en notoriété ans en organisant des patrouilles de vigilance » ; «Le Race Today Collective avait son bureau à Brixton. L’éditeur de son magazine [sic] est Darcus Howe qui a été associé avec la campagne de grève de la faim du H-Block, le New Cross Massacre Action » ; « après les émeutes, le Socialist Workers Party a distribué un tract à Brixton, dans lequel il était écrit « c’était un moyen extrêmement bien pour que Brixton contre-attaque » (résumé pour un débat au sujet d’une désobéissance civile au Royaume-Uni)
Ensuite : l’entraînement aux émeutes dans la péninsule de Greenwich

Comme ce qui est rapporté sur Greenwich Phantom (attention : article en anglais) à la suite des affrontements, le River Way Police Holding and Training Center avait été créé pour quelques années dans la péninsule de Greenwich (le conseil de Greenwich avait publié un rapport critique en 1984, à propos du « Riot Training in Greenwhich »).
La carte montre (ci-après) que cela comprenait une maquette de la rue et de la zone ainsi que des zones pour pallier aux bombes au pétrole, au gaz lacrymogène, aux canons à eau et aux entraînements des fumées des fumigènes.

From Trainspontine (traduction par Matthieu Bisbarre)

Comments

Reddebrek

3 years 10 months ago

In reply to by libcom.org

Submitted by Reddebrek on May 27, 2020

You need to add the language and subject tags otherwise these will just be lost in the index.